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Jonathan Denis, élu nouveau président de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité

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Communiqué
2 octobre 2021
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La 41e assemblée générale de l’ADMD, réunie à Nantes le 2 octobre, a rendu hommage au travail accompli depuis 2007 par Jean-Luc Romero-Michel, nommé président d’honneur


 
 Lors de la 41e assemblée générale de l’Association pour le Droit de Mourir dans la Dignité, réunie à la Cité des Congrès de Nantes ce samedi 2 octobre 2021, Jonathan Denis, jusqu’alors secrétaire général, a été élu président. Il succède ainsi à Jean-Luc Romero-Michel, président depuis 2007, nommé à cette occasion président d’honneur.
 
Adhérent de l’ADMD depuis février 2015, ancien responsable des Jeunes ADMD, Jonathan Denis (37 ans) était secrétaire général depuis octobre 2018, en remplacement de Christophe Michel-Romero, brutalement décédé. Salarié du privé, Jonathan Denis a renoncé dès l’annonce de son élection à son militantisme politique afin de se consacrer entièrement à la cause de l’ADMD, de manière non partisane. Il est un militant de longue date de la liberté et du libre choix.
 
Yoann Brossard (42 ans), adjoint à la culture et au tourisme de la ville de Blaye (Gironde), a été élu secrétaire général. Il était auparavant délégué national de l’ADMD, en charge des délégations.
 
C’est donc une équipe jeune qui a été élue à la tête de l’ADMD, dans la continuité du travail accompli par Jean-Luc Romero-Michel qui fut président de l’ADMD durant quatorze années.
 
A six mois des élections présidentielles, les élus de l’ADMD se mobilisent pour faire de la question de l’aide médicale à mourir la question centrale de la campagne en matière sociétale. Les Français sont prêts (les sondages, constants, montrent que plus de 90% des Français adhèrent au principe d’une loi de liberté) et les députés ont voté en avril dernier l’article 1er de la proposition de loi Falorni donnant le droit à une fin de vie libre et choisie. Plus rien ne justifie à présent que l’on retarde la légalisation de l’aide active à mourir, qui permettra de hisser la France au même niveau que ses voisins en ce qui concerne le droit à l’autodétermination en fin de vie.
 
Rappelons qu’une loi de liberté en fin de vie sera un droit nouveau, qui respectera les volontés de toutes les personnes en fin de vie et les consciences de tous les soignants, sans rien imposer à quiconque grâce à une clause de conscience.
 

Contact presse : Philippe Lohéac, délégué général, à p.loheac@admd.net