Parler de la fin de vie, c’est possible - Sud Ouest
Avec humour, Christophe Michel pointe du doigt le principal frein à un dialogue sur le droit à mourir : le tabou. Avec son association, les jeunes avec l’ADMD (Association pour le droit de mourir dans la dignité), il sillonne la France à bord d’un bus. L’objectif ? Interpeller directement les passants, les informer de leurs droits et parler de directives anticipées en matière de fin de vie. « L’idée, c’est de venir à eux, sinon ils ne se déplaceront pas », précise le secrétaire général de l’association. Le bus de l’ADMD tour 2017 a fait escale hier sur la place d’Armes de Cognac.
À bord, des ouvrages sur la fin de vie et une exposition. On peut y voir des portraits de jeunes tenant à la main des pancartes aux messages accrocheurs, comme « J’hésite, je ne l’ai jamais fait » ou « J’en parle très facilement à ma famille ». Ils font tous référence aux directives anticipées, documents que chacun peut remplir pour faire part de ses volontés en matière de fin de vie.
Jamais trop jeune pour y penser Lire la suite sur le site de Sud Ouest